de l'Ordre au Barreau

72 Avocats actifs

Les Avocats établis auprès de chaque Tribunal de Grande Instance forment un Barreau judiciaire.

 

Le Barreau de Libourne composé de 72 avocats en activité.

 

Ayant leur cabinet principal dans le ressort de la Juridiction.


Chaque Barreau est administré par un Conseil de l’Ordre élu pour 3 ans renouvelable pour un tiers chaque année.

 

Le Conseil de l’Ordre est présidé par un Bâtonnier élu pour deux ans.

 

Le Conseil de l’Ordre a pour mission de traiter toute question intéressant l’exercice de la profession et de veiller à l’observation des obligations des Avocats, ainsi qu’à la protection de leurs droits.

 

Le Conseil de l’Ordre est l’organe délibérant, législatif et disciplinaire.

 

 

Le Barreau est présidé par le Bâtonnier. Pour la période 2023 - 2025, il s'agit de Maître Elodie FOURMON - LECLERCQ.

 

Le Conseil de l’Ordre du Barreau de Libourne est composé de 12 membres.


Membres du Conseil de l’Ordre 2024


Madame le Bâtonnier Paule DUFFAU-LAGARROSSE

- Madame le Bâtonnier Hélène JANOUEIX

Monsieur le Bâtonnier Alexis GAUCHER-PIOLA

-- Monsieur le Bâtonnier Raphaël MONROUX

- Maître François CILIENTO

- Maître Nadia HASSINE

-Maître Caroline CLERGET

- Maître Constance DUVAL-VERON

- Maître Christophe DOLEAC

- Maître Sophie CLAVEL

- Maître David BONNAN

-Maître Félix MOLTENI

 

Toutes les décisions relatives à la tenue du tableau des Avocats (inscriptions, admissions, missions…) sont prises par le Conseil de l’Ordre. Celui-ci vérifie les contrats de collaboration libérale ou les contrats de travail.

 

Il traite les dossiers concernant la profession d’Avocat, son organisation, son avenir, mais aussi gère les finances de l’Ordre, veille à la défense des droits des Avocats, mais aussi au respect et à l’accomplissement de leurs devoirs.

AVOCAT, votre défense

L’Avocat est chargé de vous défendre, avant, pendant, après une procédure juridique. Il a également un rôle de conseil et de conciliateur préalablement à toute procédure et dans des domaines variés. L’Avocat doit se montrer fidèle à son serment : exercer avec dignité, conscience, indépendance, honnêteté et humanité.

 

Conditions d'admission d'un avocat

 

Présentation de la profession et déontologie

 

La déontologie

 

"Je jure, comme avocat, d'exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ".

 

Avant de pouvoir exercer, tout avocat doit prêter serment, il s'engage solennellement à respecter les principes essentiels de la profession d'avocat pour toute sa vie professionnelle. S'y ajoutent également, sans toutefois être exprimés à l'occasion du serment, les principes : « d’honneur, de loyauté, de désintéressement, de confraternité, de modération et de courtoisie ».

L'avocat doit aussi faire « preuve à l'égard de ses clients de compétence, de dévouement, de diligence et de prudence ». Le règlement intérieur de la profession d'avocat (qui regroupe l'ensemble des règles déontologiques) rappelle que «la méconnaissance d'un seul de ces principes, règles et devoir, constitue (...) une faute pouvant entraîner une sanction disciplinaire ».

 

 

Secret professionnel

 

C'est l'une des règles fondamentales de la profession. Il s'agit d'un devoir pour tout avocat, qui en le respectant, garantit à tout citoyen l'absence d'ingérence des pouvoirs publics dans sa défense et ce quoi qu'il ait pu faire. C'est une garantie majeure dans un État de droit.

Une obligation dont la violation est sanctionnée.

La violation du secret professionnel est un délit pénal (article 226-13 et 226-14) et un manquement à la règle déontologique, susceptible d'entraîner parallèlement à l'instance pénale, des sanctions disciplinaires (avertissement, blâme, interdiction temporaire et radiation).

 

Responsabilité

 

La souscription d'une assurance en responsabilité civile est obligatoire. Elle représente une solide garantie pour les clients en cas de faute professionnelle.

Quand intervient-elle ?

L'assurance de responsabilité civile professionnelle intervient lorsqu'une juridiction (voire parfois à la suite d'un accord amiable) a estimé que l'avocat a commis une faute ayant entraîné pour le client, ou même un tiers, un préjudice. Le préjudice est le plus souvent analysé comme la perte d’une chance : par exemple, le non-respect d’un délai d’appel peut entrainer la perte d’une chance de voir la décision de première instance infirmée ou encore, en matière de rédaction d’actes, l’omission d’une formalité peut avoir des conséquences sur la validité de celui-ci.

 

L'assurance pour les fonds confiés à un avocat.

 

La loi du 31 décembre 1971 oblige également le barreau à souscrire pour le compte de chacun de ses membres une assurance qui garantit au client le remboursement des fonds qu'il a confiés à son avocat pour un usage déterminé. Les fonds remis à l'avocat doivent obligatoirement être déposés à la Carpa qui gère et contrôle dans l'intérêt du justiciable tous les maniements de fonds.

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